Margrit Linck — Hier riecht es nach feuchtem Ton
Nicht alles, was mich mal begeisterte, überdauert die Zeit. Doch der Eigensinn, mit dem die Bernerin Margrit Linck die Keramikmasse zu Gefässen und Geschöpfen drehte und stauchte, hält ihr Werk überraschend frisch. Es passt bestens ins transdisziplinäre Labor der heutigen Kunstschaffenden im Toni-Areal.
Vous pouvez lire le texte intégral dans le numéro imprimé actuel du Kunstbulletin ou en vous inscrivant comme abonné.
Buy individual items
Vous souhaitez simplement lire cet article ? Vous pouvez l'acheter séparément ici.
CHF2.—
Une fois l'article acheté, il s'affichera au format PDF dans la fenêtre du navigateur. Vous pouvez également faire envoyer l'article au format PDF à l'adresse électronique indiquée ci-dessous.
Acheter